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Portraits

  • Le portrait : Sylvie Laurent

    Sylvie Laurent est apparue sur nos radars lorsqu'elle a prononcé, le 16 septembre 2020, cette phrase monstrueuse : « le pauvre petit blanc n'existe pas, c'est un fantasme, il n'existe pas, on a créé ça en 2016 ». Elle expliquait que ce concept avait été créé par les équipes de Donald Trump pour gagner des voix. Ce qui lui est insupportable, c'est que des blancs puissent être à plaindre.

    Si Sylvie Laurent est invitée sur les plateaux de télévision pour parler de Donald Trump et des « petits blancs » qui n'existent pas, c'est parce qu'elle est professeur d'histoire de l'Amérique à Sciences-Po et serait spécialisée dans les questions « de races et de classes », une étiquette qui ne semble être que le cache-sexe d'un activisme anti-blanc.

    En effet, en 2015, pour la librairie Mollat, elle donne une interview dans laquelle elle considère que Martin Luther King est une figure pour tous les opprimés au-delà de la question noire, les opprimés étant bien entendu le monde entier sauf les blancs, le monde entier contre les blancs, elle justifie par exemple les ignobles émeutes raciales de la fin des années soixante qui ont vu l'émergence du mouvement « black power », et l'on sait très bien ce qu'elle pense par contre du « white power », puisqu'elle ose présenter dans la foulée le président Richard Nixon comme un homme de l'extrême droite la plus radicale, comme pour justifier le fait qu'une nation capable de se choisir un chef aussi raciste méritait par avance d'être malmenée par les noirs, y compris par la violence, le chaos et la mort. Voici à quel genre de « spécialiste » de la question étasunienne nous avons affaire, c'est du niveau du premier étudiant indigéniste venu, voire même de Lilian Thuram...

    Mais Sylvie Laurent n'est pas seulement fascinée par la violence des noirs dans les nations blanches, elle a transposé ce tropisme à toute sa pseudo-analyse politique, c'est ainsi qu'elle arrive sans trembler du menton à déclarer que « les noirs sont les sentinelles de la démocratie américaine » et que Donald Trump, quant à lui, est un être primitif, corrompu et mal élu qui aurait plongé les USA dans une espèce de dictature blanche.

    En substance, les gentils noirs et les méchants blancs, voilà comment analyser chaque événement politique dans le monde magique de Sylvie Laurent. Ne pensez pas que j'exagère, je suis au contraire bien tendre avec elle, car je refuse de me pencher sur son étrange attirance pour la violence antiblanche des noirs, qu'elle résume de manière absolument hallucinante en 2013 en écrivant « qu'il n'existe pas de crime plus grand que l'esclavage et que ne pas y mettre fin en excluant par principe la violence constitue un crime également ». Oui, vous avez bien lu. Il est criminel pour un noir (forcément descendant d'esclave) de ne pas vouloir être violent vis-à-vis des blancs (forcément descendants d'esclavagistes).

    Puisque nous ne sommes pas des blancs rancuniers, nous souhaitons à Sylvie Laurent de bien fréquenter les populations qu'elle défend et de rapidement profiter d'un enrichissement multiculturel, voire antiraciste. Allez les noirs !